22 juin 2006
Décadence.
Je m'enfonce, là, je ne contrôle plus rien... Il parle, et on ne peut s'arrêter d'écouter. Il parle, et on ne peut s'empêcher de vouloir écouter, toujours plus. Premierement, ses globes se dirigent vers l'autre, puis se corrigent.
Il n'en saura rien. Il ne doit pas savoir. Je ne veux plus rien fracasser. Il me souhaite du bonheur pour quelquechose qu'il n'est même pas conscient de provoquer.
Comme dit Obélix, un groupe de vieux arabes barbus, courbés priants. Cette page me rebute. Employons l'autre.
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