Dégoût sensitif.

Je hais parfois l'odeur. Je la hais, elle me répugne, lourde et vive. Elle attaque, se loge dans mes narines, et dans un souffle chaud, elle dégage une espèce de... D'envie de meurtre.

Du bout des lèvres, vraiment. Et sans trop se poser. Sans faire un "smouifk" excessif. Au contraire. Heureusement. J'en mourrais.

C'est très embêtant, j'ai paumé (connement) la carte.

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Il paraît que je dois contrôler mes débordements. Oui, en gros, ça ne se fait pas, de dire ce qui ne plait pas à quelqu'un de supérieur.

"En physique il y a des lois, et on doit obéir aux lois."

J'obéis à mes lois. Je suis quoi ? Anarchiste ? Alors c'est ça, être anarchiste ? Non... Je n'ai plus assez d'idéaux. L'utopie, c'est fini. L'estime de l'homme, aussi.

Non, c'est juste que je ne vous respecte pas, Monsieur C. Je vous méprise. Je méprise votre petitesse. Vous n'êtes pas capable de vous regarder dans un miroir, n'est-ce pas ? Hum, je le savais. Quel manque de finesse de la part du hasard, n'est-ce pas ? Etre chauve et porter votre nom.

Biensur, je me tairai. Je ne dirai rien. C'est promis, sauf si je change d'avis.

Je ne vous accorderai plus le plaisir d'être supérieur à moi. Vos conneries m'ont lassées. Gueulez moi dessus, niquez mon année, balancez sur mon cul, j'm'en fous, je vous déteste, et j'ai envie de vous sauter à la gorge.

Un grand coup de couteau dans le dos. Je hais qu'on m'oblige. On ne m'a jamais obligé, j'ai mal tourné, tant pis pour vous si ça ne vous convient pas. J'ai pas été élevée à la dure. Je vais mal et j'ai le mérite de sombrer sans la faute de personne.

Un mot, MERDE. Je clos votre guerre vile et stupide avec un excrément.